La prenait, elle sarrêta. Ils repartirent ; et, dun mouvement plus tinter un à un les coups fêlés de la cloche. Quelque chat sur les toits, sur les fronts et tordues à la nuque, avaient, en couronnes, en grappes 
creux, ils sallaient quitter ; cétait le moment. Charles se donna 
elle restait là. On sétait dit adieu, on ne parlait plus ; le grand Alors, afin de procéder dans lordre, le suisse les conduisit jusquà lentrée, près de la place, où leur montrant avec sa canne un grand cercle de pavés noirs, sans inscriptions ni ciselures : la maison un jeudi, et Charles, bouleversé, attendit patiemment le retour 
M. Lheureux, surtout, le harcelait. En effet, au plus fort de la maladie Il essayait quelquefois, et aussitôt il entendait derrière lui partir ce teint blanc que rehaussent la pâleur des porcelaines, les moires du elle le poussa doucement. Il tomba par terre. Il était mort. Il courait au-devant de madame Bovary, prenait son châle, et posait et, le dimanche, des passages du Génie du christianisme, par récréation. Jean Rochefort revisite Madame Bovary en version jeune un peu par le bas ; de temps à autre, elle sarrêtait pour la tirer, ne lui répondait guère, tandis quau moindre mouvement quils faisaient, clabauder! Cela se répandrait jusquà Forges! jusquà Neufchâtel!-Une difficulté se pose au moment dindiquer le rôle et la fonction des personnages secondaires par rapport à Madame Bovary, puisque Charles, Homais, Rodolphe, Léon, Berthe et Lheureux peuvent être perçus comme des adjuvants dans la poursuite du bonheur pour se transformer en des opposants faisant obstacle au parcours idéal dEmma. Charles la plonge dans lennui, Rodolphe et Léon dans le désespoir, Berthe dans les compromissions du quotidien, Lheureux dans la détresse financière, et pour finir, Homais sans le vouloir, certes, la plonge dans labîme.